Selon un rapport d’Amnesty International, les anciennes otages de Boko Haram disent avoir subi des abus en tout genre pendant leur captivité. Libérées, les droits de ces femmes et filles ont par la suite été bafouées par le gouvernement.

 Elles ont échappé à la secte islamiste Boko Haram mais se sont heurtées au silence et au cynisme du gouvernement nigérian. C’est ce qui ressort d’un rapport que vient de rendre public Enregistrer un nouveau compte

Choisissez votre niveau d'adhésion