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-Ces morts sont dûs aux attaques terroristes au nord du pays

-Les organismes de défense des droits humains avaient récemment interpellé Bola Tinubu sur les défis sécuritaires qui l’attendent après sa prestation de serment

 

Les groupes armés ont fait 123 morts au Nigéria.  Ce, depuis la prestation de serment du Bola Tinubu. Des morts qui n’ont donné lieu à aucune enquête.  Le constat est d’Amnesty International. L’ONG a publié le 14 juin dernier un communiqué. Ledit communiqué porte sur la situation sécuritaire au Nigeria depuis la prise de pouvoir de Bola Tinubu. L’investiture du nouveau président du Nigeria a eu lieu le 29 mai dernier. Bola Tinubu a remporté la présidentielle du 25 février 2023. Un scrutin entaché d’irrégularités selon des observateurs électoraux, dont ceux du National Democratic Institute.

Amnesty International a rappelé aux autorités nigérianes l’obligation de protéger les citoyens « sans discrimination ». Laquelle obligation est contenue dans la Constitution, les traités régionaux et internationaux relatifs aux droits humains.  « L’incapacité flagrante des autorités à protéger la population du Nigeria devient peu à peu la ” norme ” dans le pays », écrit l’ONG internationale.

Le 25 mai dernier, c’est Human Right Watch qui rappelait au président Bola Tinubu, les défis sécuritaires qui l’interpellent. Mais les coups de fusils ont accueilli la prise de pouvoir de l’ex-sénateur de l’Etat de Lagos. Le 11 juin, un homme armé a abattu au moins 21 personnes dans l’Etat du Plateau. Le 9 juin, des tireurs ont tué 25 personnes dans le village de Katako et 13 autres à Kusherki le lendemain. Ces deux localités sont situées au nord du pays.

La Gazette du Défenseur

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Michel Biem Tong est le fondateur de Fri Verden Media. Journaliste, militant des droits de l'homme et auteur, Biem Tong est né en 1985 au Cameroun (Afrique), d'où il est également originaire. Le journaliste vit en Norvège en tant que réfugié depuis novembre 2020. Après avoir été emprisonné et persécuté en raison de ses opinions politiques, il a dû fuir au Burkina Faso (Afrique de l'Ouest) en mai 2019. Depuis près de 10 ans, Biem Tong emploie sa plume comme une arme pour la vérité et la justice.

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