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L’organisation de la société civile se plaint des factures toujours plus élevées malgré la fourniture défectueuse en énergie électrique. 

La Nouvelle dynamique de la société civile (NDSCI) de Kadutu dénonce l’absence du courant électrique dans certaines avenues du quartier Nkafu, dans la localité de Bukavu, à l’est de la RDC. C’est notamment les avenues Cibera, Hôpital général, Bugabo, Wesha, Majengo et Michombero.

Dans sa dépêche de ce 10 mars, la NDSCI constate que malgré l’absence du courant électrique, les factures ne font qu’augmenter. Pour une consommation mensuelle de 8.000 à 10.000 Francs congolais, la Société nationale d’électricité (SNEL) fait maintenant payer plus de 23.000 Francs congolais.

Patrick Munguakonkwa, président de cette organisation citoyenne dans la commune de Kadutu, qualifie cet acte d’escroquerie. Il indique que malgré les différentes lettres des habitants dénonçant cette situation, la facture ne cesse de galoper.

La NDSCI demande à la population de refuser de se faire escroquer par cette société, en refusant de payer les factures non consommées. De les collecter et les renvoyer dans les agences de la SNEL les plus proches.

Mais aussi d’éviter le système de distribution frauduleuse du courant électrique (daoulage) qui, selon elle, est à la base des incendies à répétition dans cette commune.

Il revient à la SNEL d’étendre le cash power dans la commune de Kadutu, pour épargner la population de cette situation. La NDSCI dit se réserver le droit de se mobiliser pour accompagner ces abonnés abusés, pour des revendications et des actions citoyennes afin qu’ils soient remis dans leurs droits.

La Gazette du Defenseur avec Kévin Kizombo 

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Michel Biem Tong est le fondateur de Fri Verden Media. Journaliste, militant des droits de l'homme et auteur, Biem Tong est né en 1985 au Cameroun (Afrique), d'où il est également originaire. Le journaliste vit en Norvège en tant que réfugié depuis novembre 2020. Après avoir été emprisonné et persécuté en raison de ses opinions politiques, il a dû fuir au Burkina Faso (Afrique de l'Ouest) en mai 2019. Depuis près de 10 ans, Biem Tong emploie sa plume comme une arme pour la vérité et la justice.

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