Ils sont accusés d’avoir tenté de déstabiliser le pays lors des dernières manifestations contre la vie chère.
Le risque d’une peine de mort plane sur au moins 10 personnes interpellées récemment dans le cadre des récentes manifestations contre la vie chère au Nigéria baptisées End Bad Governance in Nigeria, rapporte l’agence de presse Associated Press (AP). La justice nigériane les accuse d’avoir tenté de déstabiliser les autorités. Selon Amnesty International, 22 manifestants ont trouvé la mort dans la répression policière de ce mouvement d’humeur.
Les populations nigérianes se plaignent de la vie devenue de plus en plus chère, laquelle est due à la suppression par le président Bola Tinubu de la subvention sur les produits des hydrocarbures.
La Gazette du Défenseur avec Associated Press