Informations de contact

Møllevannsveien 49A,
4616 Kristiansand S, Norvège

Nous sommes disponibles 24/ 7. Call Now.

Au moins 400 personnes ont trouvé la mort dans l’attaque terroriste survenue à Barsalogho. Mais selon le groupe terroriste qui a revendiqué l’attaque, aucun civil ne fait partie des victimes.

Au moins 400 personnes tuées le 24 août dernier lors de l’attaque terroriste de Barsalogho, au centre du Burkina Faso, rapporte Reuters. L’agence de presse anglaise dit détenir un audio contenant le récit d’une habitante de la localité, lequel a été recueilli par un travailleur humanitaire opérant dans la zone.

Selon ce témoin qui a requis l’anonymat, cette attaque est intervenue au moment où les hommes creusaient des tranchées sur instructions et sous la supervision des soldats burkinabè, tandis que les femmes et les enfants coupaient arbres et herbes afin de garantir la visibilité de l’unité militaire déployée dans la localité.

D’après la dame, c’est à 10 heures que les tirs ont retenti tuant à la fois, civils, militaires, et soldats volontaires. L’attaque a eu lieu jusque tard dans la soirée, à l’arrivée des drones, se souvient la dame qui rapporte qu’une famille a perdu 30 de ses membres tandis qu’une famille entière de 13 personnes a été décimée.

Jama’a Nusrat ul-Islam wa al-Muslimin, affiliée à Al-Qaeda, a revendiqué l’attaque de Barsalogho. Le groupe terroriste dément cependant avoir tué des civils et souligne que les victimes sont exclusivement des militaires et des volontaires pour la défense de la patrie.

La Gazette du Défenseur avec Reuters

Contribuez à une presse libre

Faire un don wdgk loader image
Share:

administrator

Michel Biem Tong est le fondateur de Fri Verden Media. Journaliste, militant des droits de l'homme et auteur, Biem Tong est né en 1985 au Cameroun (Afrique), d'où il est également originaire. Le journaliste vit en Norvège en tant que réfugié depuis novembre 2020. Après avoir été emprisonné et persécuté en raison de ses opinions politiques, il a dû fuir au Burkina Faso (Afrique de l'Ouest) en mai 2019. Depuis près de 10 ans, Biem Tong emploie sa plume comme une arme pour la vérité et la justice.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *